Au Jardin en Juillet
05 vendredi Août 2016
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in05 vendredi Août 2016
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in31 dimanche Juil 2016
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inCela faisait un moment que je n’étais plus allée à la bibliothèque. L’avantage c’est de ne pas se prendre la tête pour choisir, on peut laisser le hasard nous guider : un nom d’auteur vaguement familier ou complètement inconnu, un titre évocateur, une couverture mystérieuse, la simple envie du moment et hop c’est parti !
J’ai eu la main heureuse en ce début de vacances avec « Plus haut que la Mer » de Francesca Melandri.
Auteur: Francesca Melandri Editeur: Galllimard, coll. Du monde entier27 mercredi Juil 2016
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inA la recherche d’un cadeau pour mon oncle, je suis tombée sur ce titre qui m’a séduite. Et puis Erik Orsenna a une tête tellement sympathique, comment résister ? C’est donc avec deux livres sous le bras que je suis sortie de ma librairie : « Un Fauteuil sur la Seine » d’Amin Maalouf (ledit cadeau) et « L’Origine de nos Amours » d’Erik Orsenna (mon petit extra). Le premier a beaucoup plu à son heureux bénéficiaire, quant au second, mon avis est plutôt mitigé…
Auteur: Erik Orsenna Editeur: Stock07 mardi Juin 2016
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in07 samedi Mai 2016
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Il y a deux possibilités : soit vous connaissez déjà « Peaky Blinders » et dans ce cas, réjouissez-vous, le premier épisode de la Saison 3 vient de sortir (le 5 mai) ! Soit, heureux que vous êtes, vous ne connaissez pas encore et vous avez 2 saisons complètes devant vous ! 🙂
Cette série a tout pour elle, et n’a rien à envier à « Downton Abbey », « Mad Men » ou « Game of Thrones ». Je l’ai découverte tout à fait par hasard sur Netflix et j’ai immédiatement accroché.
Synopsis:
La première saison débute juste après la fin de la « Grande Guerre« , en Angleterre, plus précisément à Birmingham. Elle se base sur l’histoire vraie d’un gang de criminels, les « Peaky Blinders ». « Peaky » veut dire « visière », ils cousaient des lames de rasoirs sur la visière de leurs casquettes, ce qui donne quelques scènes un peu sanglantes il faut le dire. Il s’agit donc de rivalité entre bandes criminelles, de trafic d’alcool et d’armes, de jeux, des effets de la guerre aussi, avec une dose de cynisme politique.
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05 jeudi Mai 2016
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armel job, critique livre, littérature belge, roman, tu ne jugeras point
Lorsque les enfants grandissent, ce sont eux qui vous apprennent des tas de choses et répondent à vos questions, du style “qu’est-ce qu’il a mon ordi, pourquoi il fait ça?” ; “est-ce que je réponds sur Facebook à un message vieux d’un mois, ça se fait ?” ou “comment as-tu fait ta bannière sur ton blog ?”.. et la réponse fuse, invariable: “mais enfin, maman ..!” avec un regard qui en dit long. Bon ceci dit, sur Excel c’est encore moi qui gère 🙂
Grâce à eux vous êtes incollable sur les séries à ne pas manquer (je leur dois des perles) mais également parfois sur des découvertes littéraires (juste retour des choses, après tout ils me doivent bien “Chien Bleu”! )
C’est donc ma fille qui m’a fait découvrir Armel Job, et en plus il est belge !
Résumé de l’éditeur :
Lorsque, ce jour-là, Denise Desantis entre dans un magasin pour s’acheter des mouchoirs, elle est pressée et, Lire la suite
30 samedi Avr 2016
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critique livre, l'homme de lewis, l'Ile des Chasseurs d'Oiseaux, le braconnier du lac perdu, littérature anglaise, Peter May, roman, trilogie de lewis
Je me demande souvent s’il vaut mieux lire une trilogie sans s’arrêter jusqu’à plus soif et se plonger complètement dans l’ambiance et l’histoire sans perdre le fil d’un iota, ou s’il est préférable d’alterner les lectures pour ne pas se lasser ?
Toujours est-il qu’après le tome 1 dont je vous parlais ici, j’ai enchaîné avec « L’homme de Lewis » et « Le Braconnier du lac perdu », les volumes 2 et 3 de la trilogie de Lewis.
L’histoire:
Une enquête policière est à nouveau la trame de « L’homme de Lewis » qui s’ouvre sur la découverte du corps d’un très jeune homme assassiné 50 ans plus tôt, enfoui et protégé sous la tourbe.
Fin Macleod va se charger d’enquêter discrètement sur ce meurtre qui semble pointer vers un vieil homme, Tormod McDonald, le père de Marsailli, son amour d’enfance. Pourtant, même si leur ADN est apparenté, rien ne semble rapprocher la victime et le vieil homme qui erre dans le dédale de ses souvenirs et peine à appréhender le présent. Lire la suite
30 mercredi Mar 2016
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inJe cherchais l’inspiration chez mon libraire : un roman policier .. une ambiance anglaise .. rien de plus précis, lorsqu’un vendeur m’a parlé de cette trilogie de Peter May. « L’ile des Chasseurs d’Oiseaux » est le premier tome. L’histoire se passe dans une ile au nord de l’Ecosse, froide et attachante à la fois, le héros est un policier un peu perturbé. Le libraire m’a expliqué que l’ile a beau être rebutante, les lecteurs du livre sont unanimes, tous aimeraient la visiter. Ma curiosité l’a emporté.
Auteur: Peter May Editeur: Babel noirL’auteur:
Peter May est un romancier écossais né à Glasgow en 1951, il est également scénariste pour la télévision britannique. Ce roman a d’abord été refusé par les principales maisons d’édition anglaises, et c’est en France qu’il a été publié et obtenu différents prix de littérature, avant d’être ensuite publié en Angleterre, et devenir un best-seller sous le titre « The Blackhouse ».
L’histoire: Résumé de l’éditeur
Marqué par la perte récente de son fils unique, l’inspecteur Fin Macleod, déjà chargé d’élucider un assassinat commis à Edimbourg, est envoyé sur Lewis, son île natale, où il n’est pas retourné depuis dix-huit ans. Un cadavre exécuté selon le même modus operandi que celui d’Edimbourg vient d’y être découvert. Sur cette île tempétueuse du nord de l’Ecosse, couverte de landes, où
19 vendredi Fév 2016
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Parce que la littérature est intimement liée au bonheur, le thème de la Foire du Livre Bruxelles 2016 cette année est la quête du bonheur ou “le Bonheur à la page”.
De nombreux auteurs seront au rendez-vous (Hubert Reeves, Amélie Nothomb, Dany Laferrière (j’ai très envie de lire « l’Art presque perdu de ne rien faire » j’adore ce titre et lors d’une interview radio je l’ai trouvé hyper attachant), Yasmina Khadra, Frédéric Lenoir, Philippe Geluck, pour n’en citer que quelques uns)
Parmi eux, Richard Ford sera l’invité d’honneur et dédicacera son dernier ouvrage “En toute Franchise” vendredi de 17h30 à 18h30 et de 20h à 21h.
Richard Ford a remporté le prix Pulitzer pour son livre “Indépendance” en 1996.
Son livre “Canada” est sur le starting bloc de mes prochains livres à livres. Si vous l’avez-lu n’hésitez pas à partager votre avis !
Foire du Livre de Bruxelles
Du 18 au 22 février 2016
L’entrée est gratuite cette année !
04 vendredi Déc 2015
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critique littéraire, littérature française, Patrice Franceschi, roman
Gros flop cette fois avec ce livre d’Anna Gavalda : « La Consolante ».
Auteur: Anna Gavalda
Quel ennui ! Je me suis fixé pour règle en général de lire au moins 50 pages d’un livre avant de l’abandonner, cette-fois c’est clairement au-dessus de mes forces. Après 30 pages j’ai dû m’empêcher de le jeter par la fenêtre ou sous un train (j’ai pourtant un grand respect pour l’objet-livre) tellement je l’ai trouvé trivial, insipide, mal écrit, inintéressant. Ce n’est pas que le style soit mauvais, c’est qu’il n’y en a pas. Vide et creux, rempli de périphrases sans aucun intérêt (je n’ose pas imaginer ce que ma prof de français m’aurait collé comme note si j’avais rendu un travail du style), pas de sujet, le personnage est plat, les dialogues insipides, on ne sait même pas qui parle parfois, c’est décousu, impossible de s’accrocher au fil (s’il y en a un, moi je n’ai pas la patience). Ce n’est même pas seulement ennuyeux, c’est énervant car l’auteure a l’air de se prendre au sérieux dans sa platitude.
Bref, du temps perdu, du temps on n’en a pas beaucoup alors vraiment ça me contrarie d’avoir ce sentiment.
Si vous l’avez aimé, je serais très curieuse de savoir ce qui m’a échappé. J’ai lu quelque part qu’il faut arriver à la seconde moitié du livre pour se rendre compte qu’il y a un récit, je n’en ai pas le courage, ni l’envie, vraiment.